Bonjour a tous.. ne faite pas attention aux fautes 'j'ai pas corrigé" c'est une vieille histoire que j'arrive pas a me satisfaire de la fin.. les triades en on lu une partie a votre tour^^
Chapitre I
Une jeune romancière nommée ALANNA PARAN
Décembre 1999, Paris vue du ciel, c’est une belle après midi d’hiver. Un peu partout d’immense traînée de fumée sortent des cheminées. Le froid et la neige n’empêchent en rien le brouhaha de la ville. De ci, de la des klaxons dérangent la tranquillité inspirée par les flocons, des passants s’engueulent pour une voiture qui ne s’est pas arrêtée au feu orange. Au même croisement un accident entre deux voitures provoque une immense file indienne. Au feu rouge opposé s’arrête un monospace. Il y a 5 personnes a l’intérieur. D’immense logo recouvre entièrement le véhicule on peut lire « Les news. C’est le nom d’un grand journal crée en 1900 spécialisé dans les grands événements ( couvrant aussi bien les guerres que le people), c’est l’un des rares journaux français à paraître dans le monde entier.
Le feu passe au vert. Le monospace s’engage rapidement sur la voie. Les pneus glissent sous l’accélération soudaine. La chaussée étant recouverte d’une fine couche de neige le conducteur à du mal à tenir sa voiture droite, les passants regroupés autour du premier accrochage se retournent sur son passage, ils ont tous un air qui peut se traduire par « regarder ce crétin qui roule trop vite sous la neige . La voiture avance rapidement, le chauffeur est pressé. Après de nombreux braquage et contre brassage il s’arrête devant l’entrée d’un grand hôtel. Quatre personnes en sortent.
Prenez le matériel dit l’un d’eux. Ils ouvrent le coffre et en sortent une caméra et divers accessoire. En retard ils sont excités et se pressent comme fond des fans qui vont à une avant première ou à un concert d’une grande star de la chanson.
Dans l’entrée de l’hôtel, à l’abris sous un grand dôme ils se regroupent avec d’autres journalistes qui attendent. Les organisateurs ont fait grand, c’est l’un des hôtels les plus upées de la région, tout est tape à l’œil, d’immense colonne fait de plusieurs éléments de pierre blanche superposées vous accueille, ils soutiennent un grand dôme de verre qui illumine le hall. En face de l’entrée, un immense escalier occupe une grande partie du hall. De chaque coté et tout le long de la pièce de long comptoir ou se trouve des jeunes femmes charger de vous accueillir, elles sont plus belles les unes que les autres, on a l’impression de venir assister à un défiler de haute couture. De chaque coté du hall d’immense PLV annoncent la direction du grand salon ou va se dérouler la conférence de presse de Mlle Paran.
Elle n’est connue de personne, c’est son 1er livres mais l’ampleur du phénomène commence à dépasser les frontières.
Les journalistes sont agités, ils se poussent afin d’être le plus prêt possible de l’estrade. Un podium, juste ce qui y a de plus simple, une grande table placée devant les journalistes et plusieurs chaises alignées.
Une estrade en complète contradiction artistique en voyant le style bourgeois de la décoration et de l’architecture de l’hôtel ou elle se situe.
Une attaché de presse tente de les raisonner et de les placer au mieux. Au bout d’une demi-heure un semblant d’ordre règne. Elle fait signe d’aller chercher Mlle Paran.
Debout sur l’estrade elle demande le silence…
Mesdames et Messieurs nous avons organisé cette conférence de presse pour que le grand public face la connaissance de (derrière elle, projetée sur un grand écran blanc, la couverture du livre) l’auteur de la révélation littéraire de cette année ! Je vous prie de bien vouloir accueillir Mlle Paran elle tend son bras vers les coulisses.
Les journalistes fébriles fixent le rideau situé derrière l’estrade, la lumière faiblie, un faisceau éclaire une partie du rideau au moment ou il s’entrouvre, de nombreux flash crépitent.
L’arrivé ressemble à celle que reçoit une immense pop star...
Mlle Paran arrive. C’est une jeune femme de taille moyenne, elle est brune, une peau très claire, comme si elle n’avait jamais vu la lumière. Ces longs cheveux cachent une partie de son visage. Elle est habillée tout en noir. Sa tenues la font ressemblées a un vampire tout droit sortie d’un mauvais films de série B.
C’est une jeune femme têtue, vivant dans son monde et voulant se démarquer des autres. Ses yeux fixe le sol ou loin devant elle. Elle fuit le regard des autres. A voir son apparence elle peut sembler sur d’elle mais sa personnalité est à l’opposé avec ce qu’elle projette, elle doute de ses vrai capacité, elle est extrêmement fragile. Alanna regarde partout autour d’elle effrayée, elle n’est pas habituée. A son regard on devine une raison différente, elle a ce quelque chose en plus qui démarque certaines personnes d’autres, ce je ne sais quoi qui fait la différence dans une existence. Dans la vie de tous les jours elle se fait la plus discrète possible. C’est une écorché vif, elle a une regrettable habitude de prendre tout trop à cœur ce qui de temps en temps la rend malade.